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29 août 2009 6 29 /08 /août /2009 17:25

V : 14/20

J'ai aimé :
- les histoires qui s'entremêlent
- les points de vue qui changent en fonction du personnage
- l'évolution du personnage de Joséphine

- le lien (évident) entre l'histoire du livre et le titre

 

J'ai moins aimé :
- on reste sur notre faim (heureusement qu'il y a une suite!)

- Joséphine est beaucoup trop naïve au début

- tous les personnages sont caricaturaux

- le passé de Shirley (et Gary) : rocambolesque (trop pour une histoire qui se veut réaliste)


En un mot : distrayant


Ju : 16/20
J'ai aimé :
- l'ambiance du livre, on n'a plus envie de le quitter
- histoire des plus banales qui peut arriver à n'importe qui, on s'identifie tout de suite aux personnages
- l'enchevêtrement des différents histoires, on ne se doute pas que toutes les personnes se connaissent

- description des relations dans cette famille

- écriture très fluide et agréable

- histoire émouvante avec la destruction et reconstruction des personnages

- on se prend tellement dedans qu'on est déçu quand ça s'arrête

J'ai moins aimé:

- trop moraliste
- beaucoup trop de clichés
 

- quelques détails trop abracadabrants

- le titre intrigue au départ mais ne justifie pas d'appeler le livre comme ça, référence aux crocodiles trop peu  présente pour justifier le titre

- à la fin, personnage dont on se débarrasse un peu trop rapidement


En un mot : frais


Jo : 18/20
J'ai aimé :
- l'histoire et les personnages
- le style de l'écrivain, la façon dont elle a de se mettre à la place de chaque personnage
- tous les personnages sont importants, même les secondaires

- se lit très facilement, très frais

- on s'identifie de près ou de loin aux personnages

- les références au titre, tout au long du titre

- la façon dont Joséphine se bat pour ses filles, pour s'en sortir
- la société actuelle très bien décrite

- la fin


J'ai moins aimé :
- quelques histoires parallèles


En un mot : fabuleux


E : 13/20.
J'ai aimé :

- les vies et histoires entremêlées entre les personnages
- tous les personnages ont l'objectif d'atteindre leur vie idéale (financière, sentimentale, ...)
- roman positif, écriture fluide
- tous les personnages ont leur trait de caractère spécifique
- sentiments des personnages bien retranscrits
- thèmes actuels de la société


J'ai moins aimé :
- aventure trop ordinaire, manque d'action
- personnages un peu trop caricaturaux
- le secret de Shirley un peu trop gros et pas très utile
- le personnage d'Hortense


En un mot : rafraichissant

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18 juillet 2009 6 18 /07 /juillet /2009 17:07
Née au Maroc, Katherine Pancol arrive en France à l'âge de 5 ans. Après une maîtrise et deux ans de doctorat de lettres modernes, elle s'initie à l'enseignement et devient professeur de français et de latin avant de poursuivre dans le journalisme : Katherine Pancol écrit pour Paris-Match et Cosmopolitan. Un éditeur la remarque et lui demande d'écrire un roman. Ce sera chose faite en 1979 avec la parution de 'Moi, d'abord', sorte de roman initiatique vendu à 300.000 exemplaires. Le succès lui tombe rapidement dessus et l'écrivain décide de partir pour New York pour oublier tout cela. En 1981 paraît 'La Barbare', puis 'Scarlett, si possible' en 1985. Elle donne naissance en 1987 à une petite Charlotte, puis en 1989 à Clément. Bien qu'occupée par ses deux enfants, elle continue à écrire. Viennent 'Les Hommes cruels ne courent pas les rues', 'Vu de l'extérieur', 'Une si belle image', 'Encore une danse'. Poursuivant sa collaboration avec l'hebdomadaire Paris-Match, elle interviewe des personnalités venant d'horizons divers : Ronald Reagan, Lionel Jospin, Jacques Chirac, Meryl Streep, Vanessa Paradis, Louise Brooks. Editée chez Albin Michel depuis 1999 et son 'J' étais là avant', elle publie au moins un roman par an. 'Et monter lentement dans un immense amour ...' (2001), 'Un homme à distance' (2002), 'Embrassez-moi' (2003) et 'Les Yeux jaunes des crocodiles' en 2006.


source : evene.fr
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18 juillet 2009 6 18 /07 /juillet /2009 16:52


Auteur : Katherine Pancol
Date de parution : 02/03/2006  



Deux soeurs. La quarantaine. Iris, belle, très belle, riche, élégante, parisienne. Autrefois étudiante brillante, elle s'est mariée, et sa vie se résume en un tourbillon vain. Iris s'ennuie, rêve de devenir une autre. Joséphine est une littéraire, historienne spécialisée dans l'étude du XIIe siècle. Beaucoup moins belle, beaucoup moins à l'aise dans la vie. Mariée, elle a deux filles, vit en banlieue et se bat pour tenir debout. Un jour, à un dîner, Iris prétend qu'elle écrit. Entraînée par son mensonge, elle persuade sa soeur d'écrire un livre qu'elle signera, elle. Abandonnée par son mari, acculée par les dettes, Joséphine se soumet. Elle est habituée : depuis qu'elles sont enfants, Iris la magnifique la domine. Le destin de chaque soeur va basculer.

source : fnac.fr


Notes des beL
   V 14/20; Ju 16/20 ; Jo 18/20 ; E 13/20

Moyenne : 15,25 /20

 

Retrouver nos avis : ici

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18 juillet 2009 6 18 /07 /juillet /2009 15:39

V : 19/20

J'ai aimé :
- histoire(s) très prenante(s), on se laisse complètement immerger.
- l'ambiance qui retranscrit très bien la ville de Tokyo, ce qui s'y passe (mots, atmosphère, club à hôtesses, yakusas, kanji, ...).
- l'explication des traditions chinoises et japonaises.

- l'auteure nous apporte au travers du destin de deux personnages, la connaissance du massacre de Nankin pendant l'invasion des japonais.

- la tension ne retombe jamais. La fin est digne du livre, on a toujours envie d'en savoir plus.

- l'alternance des deux histoires est bien réalisée. La fin d'un chapitre nous laisse sur notre faim, mais c'est pour reprendre de plus belle.

- les personnages sont très attachants.

- des tabous sont levés.

- la note de l'auteure avec les recherches réelles qu'elle a fourni pour nous offrir ce livre. Mo Hayder nous donne envie d'en apprendre plus sur l'histoire de Nankin à cette époque là.

- des détails sans importance au début prennent toute leur importance au fil de l'histoire.

- l'évolution des personnages, en particulier de Grey.

 

J'ai moins aimé :
- rien

En un mot : époustouflant.


Ju : 15/20
J'ai aimé :
- style très fluide, bien écrit, entraînant
- histoire qui progresse dans l'horreur, nous tient en haleine.
- personnages assez atypiques, mais personnalités nécessaires pour le livre
 

- fin très surprenante, dont on ne se doute pas un instant.

- enchevêtrement des deux histoires, très bien construit. 

- découverte d'une période historique plus que méconnue.

- descriptions rondement menées.

- le titre du livre qui montre que la ville ne va pas sans l'histoire

J'ai moins aimé:

- intrigue un peu trop simplette.
- très très long à démarrer
.

- les héros qui ne se révèlent que peu à peu. 

- l'histoire passée de Grey trop floue.

En un mot : exaltant.


Jo : 15/20
J'ai aimé :
- l'évolution du personnage de Grey (arrivée d'une fille paumée, jusqu'au dénouement où elle se révèle).
- le rapport entre Grey et Shi Chongming.
- la description de la ville qui est un personnage à part entière de l'histoire.

- le suspense jusqu'au bout, on ne se doute pas de la fin

- l'enchaînement des actions, pas de temps mort.

- l'alternance histoire Grey / Shi Chongming.

- l'Histoire du massacre de Nankin méconnue du grand public, culture générale enrichit.
- la tension sexuelle entre le personnage de jason et de Grey.

- les 2 russes, un peu de gaité dans cette noirceur.

- la façon de décrire les lieux et milieux de l'histoire (hospitalier, club d'hôtesses).


J'ai moins aimé :
- du mal à croire à l'histoire de Grey au départ.
- on ne s'identifie pas aux personnages de l'histoire.

- le personnage de Jason, indispensable à l'histoire, mais exaspérant et dégoûtant.

- la fin du personnage de Grey un peu flou (on aimerait savoir la suite).

- la facilité de certaines actions qui sont peu crédibles.


En un mot : haletant.


E : 16/20.
J'ai aimé :

- le personnage de Grey et sa passion pour Nankin et les hôtesses russes drôles.
- les descriptions de paysages et de la vie dans Tokyo : on s'y croyait (on ne regrette pas le titre du livre...)
- découvrir un passage historique que je ne connaissais pas, Mo Hayder nous donne envie d'en savoir plus sur cette période.
- la peur, les doutes, la vision terrifiante et sombre des habitants de Nankin est très réaliste.
- les passages alternatifs entre le présent et le passé donnent beacoup de dynamisme au livre.
- histoire prenante on veut savoir la suite, on n'est pas déçu de l'avancée et final du livre.
- le style fluide et efficace pour décrire une période dure et bouleversante.


J'ai moins aimé :
- le début est trop long, on aimerait entrer dans le vif du sujet plus vite.
- le personnage de Jason est exaspérant.
- les noms chinois/japonais au début (je m'y perdais un peu).
- j'ai eu du mal à m'attacher aux personnages, surtout Shi (notamment au début).
- l'histoire très bien ficellée mais au final basée sur une intrigue pas si originale que ça.


En un mot : captivant.

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6 juin 2009 6 06 /06 /juin /2009 18:38

 

Auteur de polar à succès, Mo Hayder puise en partie son inspiration dans une histoire personnelle mouvementée. A l'âge de 16 ans, elle quitte sa famille bourgeoise et mène une vie chaotique marquée par la violence, la drogue et l'alcool. Après dix années de 'galère', la jeune femme part pour le Japon - un pays qui sera au coeur de son troisième roman 'Tokyo' - et travaille en tant que serveuse. Plutôt déçue par cette expérience, elle se rend à Los Angeles pour étudier le cinéma. En 2001, Mo Hayder publie son premier roman, 'Birdman', déjà remarquable par sa noirceur, suivi de 'L' Homme du soir' qui deviennent rapidement des best-sellers aux Etats-Unis.

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6 juin 2009 6 06 /06 /juin /2009 18:32

Auteur : Mo Hayder

Date de parution : 2004

 

 

Lorsque Grey débarque à Tokyo, elle ne connaît pas le Japon, n’y a aucune relation et pas d’argent. Son but : retrouver un vieux film oublié, seul témoignage des atrocités commises par les Japonais à Nankin en 1937. Si l’histoire dans cette région du monde a été assez tumultueuse, le passé de cette jeune anglaise l’est aussi. Aussi la quête personnelle est-elle intimement mêlée à l’enquête historique. La seule personne qui pourrait aider Grey, un survivant du massacre de Nankin, professeur d’université, refuse de lui répondre. En désespoir de cause, Grey trouve une place d’hôtesse dans un club luxueux fréquenté par une clientèle interlope, hommes d’affaires, yakuzas et surtout un mystérieux vieillard impotent sur lequel le temps ne semble plus avoir de prise. Un thriller envoûtant qui dévoile le passé sombre du Japon et les bas-fonds de Tokyo avec un lyrisme très noir.




Notes des beL : V 19/20 ; Ju 15/20 ; Jo 15/20 ; E 16/20

Moyenne  : 16,25/20

Retrouver nos avis : ici

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6 juin 2009 6 06 /06 /juin /2009 17:53

V : 07/20

J'ai aimé :
- les chapitres alternant entre les personnages racontés à la première personne du singulier.
- les histoires qui se rejoignent mais toujours séparées un chapitre sur deux.
- le personnage de César qui apporte un souffle bienvenu au livre.

 

J'ai moins aimé :
- plutôt dur à lire et à suivre.
- histoire(s) ennuyeuse(s). Pas d'action.
- personnage d'Ingrid très énervant.
- histoire trop alambiquée.
- livre existentiel
- pas de notion de temps, on est perdu.

En un mot : Artificiel.


Ju : 11/20
J'ai aimé :
- mots simples qui touchent.
- le personnage de Raoul, qu'on a envie d'aider pour que ses parents ne se séparent pas.
- la vision émouvante de Raoul pour la fée.
 

- sentiments amoureux très bien décrits.

- famille originale. 

- fin difficilement prévisible.

- la rencontre entre Ingrid et Nicolas racontée à rebours.

J'ai moins aimé:

- manque cruel d'action, trop plat et trop long.
- le changement de première personne dérange
.

- je n'ai pas accroché avec la fée. Même si c'est la vision de l'enfant on tombe un peu dans le grotesque. 

- fin baclée.
- histoire trop parfaite pour être vraie.
- dommage qu'on ne sache pas avant ce qu'a Ingrid, elle en devient détestable.
- personnages peu attachants.
- histoire plus que banale.


En un mot : Naïf.


Jo : 12/20
J'ai aimé :
- le petit Raoul très touchant.
- l'histoire fusionnelle entre Raoul et Nicolas, son papa de coeur .
- l'évolution du personnage (sa manière de grandir).

- l'explication du titre, même si elle n'arrive qu'à la fin.

- le quotidien d'une immigrante, dénonciation des conditions de travail dans certains métiers. Le harcèlement des femmes dans leur travail.
- le dénouement.

- le point de vue de deux protagonistes dans la même situation.


J'ai moins aimé :
- départ de l'histoire, on se demande où on va.
- le style, je n'ai pas trop accroché.

- histoire trop réelle, ne fait pas rêver.


En un mot : Indifférente.


E : 12/20.
J'ai aimé :
- le style d'écriture, sans prise de tête.
- le personnage de Raoul, rayon de soleil du livre.
- les liens entre Nicolas et Raoul, touchants.

- le début de l'histoire.
- l'attachement de Raoul pour la fée.

- traite de sujets actuels qui pimentent l'histoire en petites touches.

J'ai moins aimé :
- on ne s'identifie pas aux personnages
- le personage d'Ingrid.
- histoire trop quotidienne, sans rebondissement.
- l'éducation de la fée quasi inexistante.


En un mot : Léger.

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18 avril 2009 6 18 /04 /avril /2009 16:53
Lauréat du prix Goncourt en 1994 pour 'Un aller simple', le Niçois Didier van Cauwelaert, rythme la vie littéraire française avec ses nombreux romans et pièces de théâtre. Attiré par l'écriture depuis sa plus jeune enfance, l'écrivain se fait remarquer par hasard, alors qu'il entreprend une correspondance imaginaire avec l'actrice Greta Garbo, publiée dans le courrier des lecteurs de Télé 7 jours. Mais la reconnaissance critique et publique n'intervient qu'avec ses premiers romans parmi lesquels 'Poisson d'amour' en 1984 ou 'Les vacances du fantôme', trois ans plus tard. Inspiré par les thèmes de la famille et de l'épanouissement social, Didier Van Cauwelaert s'intéresse également au paranormal et à la folie scientifique comme en témoigne son roman 'L'évangile de Jimmy', dans lequel l'auteur traite de la question du clonage. Très impliqué dans la vie théâtrale : acteur occasionnel mais surtout metteur en scène et dramaturge, on doit à ce fan de  Marcel Aymé une comédie musicale adaptée du 'Passe-muraille' , créé avec la collaboration de Michel Legrand et pour lequel il reçoit un Molière en 1997. Couronné de succès, Didier Van Cauwelaert attire l'attention au-delà des frontières françaises et du cadre littéraire, son roman 'L'éducation d'une fée' fait notamment l'objet d'une adaptation cinématographique en Espagne.
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18 avril 2009 6 18 /04 /avril /2009 16:40

Auteur : Didier van Cauwelaert
Date de parution : 2000


      Tout commence par un coup de foudre. Nicolas Rockel tombe amoureux de deux personnes : l'une, blonde, prénommée Ingrid, ornithologue et veuve d'un militaire tombée en Bosnie, l'autre brun à lunettes, Raoul, quatre ans et demi, et fils de la première. Ils vivent quatre ans de bonheur dans la ferme de Nicolas, inventeur de jouets, jusqu'à ce jour de juillet où Ingrid laisse entendre à Nicolas qu'elle veut se séparer de lui. Il trompe son angoisse en achetant au supermarché des produits inutiles depuis qu'il a repéré la jeune caissière du portique 13 qui porte sur son badge le prénom étrange de César. César, elle, vit une autre histoire, d'exil, d'immigration et de banlieue. Elle a écrit une thèse sur Gide, attend son inscription en Sorbonne et pour l'heure subit le harcèlement du petit chef du supermarché et des copains beurs de son fiancé en préventive. Et César va incarner la fée, la gardienne du foyer, celle qu'attend le petit Raoul pour l'aider à recoller les morceaux brisés de sa famille...

Notes des beL
   V 07/20 ; Ju 11/20 ; Jo 12/20 ; E 12/20

Moyenne : 10.5/20

 

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18 avril 2009 6 18 /04 /avril /2009 16:12

V : 12/20

J'ai aimé :
- drôle.
- pédagogique (anti-racisme, leçon de français, ... ).
- les illustrations.

- les idées originales dont fait preuve l'auteure.

 

J'ai moins aimé :
- lent.
- prévisible.

En un mot : Sympathique.


Ju : 10.5/20
J'ai aimé :
- le personnage du dragon.
- la psychologie des personnages très bien décrite.
- les différents sujets abordés (dictature, esclavage, préjugés).
 

- alternance des points de vue.

- deuxième partie beaucoup plus intéressante que la première.


J'ai moins aimé:

- très long à démarrer et manque d'action. Dommage que la disparition des elfes ne soit pas un peu plus développée.
- drôle mais vite redondant
.

- style d'écriture trop enfantin.

- arrivée de la prophétie un peu trop farfelue.
- contradiction entre la bétise et l'intelligence de l'elfe.
- trop décontextualisé.
- la première partie s'identifie à un album randonnée pour enfant.


En un mot : Enfantin.


Jo : 13/20
J'ai aimé :
- livre de jeunesse mais avec des références historiques (extermination des juifs, Moïse).
- le personnage de l'elfe est bien décrit (né depuis peu) .
- histoire transposable dans notre monde (tyrans, monarchie).

- utilisation des codes du conte et de la fantasy .


J'ai moins aimé :
- l'auteure veut trop nous imposer sa façon de vivre ( sûrement végétarienne).
- Au début, on ne sait pas où va l'histoire.

- pas d'identification aux personnages ( peut-être à cause de l'âge).


En quelques mots : Plus qu'un simple livre jeunesse.


E : 12/20.
J'ai aimé :
- les petites touches d'humour.
- description poétique de certains passages.
- la rencontre des mêmes problématiques actuelles ( préjugés racistes, ... )

- la bonne psychologie des personnages.

J'ai moins aimé :
- la redondance (" né depuis peu", "romarin", ...)
- passages parfois mous.
- paradoxe entre " l'intelligence supérieure " de l'elfe et ses réactions un peu ridicules parfois.
- la façon dont a été amenée la prophétie.


En un mot : Frais.

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